Grâce à l'imagerie cérébrale, il est maintenant possible d'analyser les effets de nos actes et autres habitudes sur le cerveau. Des chercheurs ont voulu observer ce qui se passait lorsque nous pratiquons la gratitude. Les résultats furent épatants.
Pour ces tests, les chercheurs ont fait appel à 43 volontaires souffrant d'anxiété et de dépression. La moitié de ces volontaires devaient des lettres dans lesquelles ils remerciaient les personnes de leur entourage. (étape 1) Par la suite, une information a été donnée à tout le groupe: « un bienfaiteur leur léguait une somme d'argent. Souhaitaient-ils faire don d'une partie de cette somme à une oeuvre de charité en guise de geste de gratitude ? (étape 2) Les individus qui ont donné une partie de leur argent ont eu une activité particulière au niveau de leur cerveau. Le plus intéressant est cependant que ceux qui avaient rédigé la lettre de gratitude lors de la première étape, ont ressenti plus d'émotions agréables que les autres pendant des semaines. Il semblerait donc que la gratitude «
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Les patients exceptionnels manifestent leur volonté de vivre avec une efficacité remarquable. Ils prennent leur vie en main même s'ils n'ont jamais su le faire et ils luttent farouchement pour retrouver santé et sérénité d'esprit. Ils considèrent les médecins comme des partenaires mieux informés auxquels ils demandent non seulement une assistance technique, mais également écoute et investissement personnel.
Les patients exceptionnels s'investissent personnellement dans le choix de leurs partenaires santé afin d'assurer la bonne direction des recherches, des traitements, et leur retour à la santé. Lorsque nous parlons à nos cellules, cela pousserait notre corps à se soigner De nombreuses découvertes majeures sur le cerveau font leur apparition ces derniers temps, à tel point que la science et l’holisme s’unissent. Un domaine de recherche particulièrement intéressant implique la relation entre nos pensées et notre corps physique, dans la mesure où des preuves montrent désormais que nous pouvons «parler» à notre corps et le faire coopérer.
Dans son livre Biologie de la croyance , le Dr Bruce Lipton biologiste moléculaire de renom, bouscule la médecine en mettant en évidence, par une démonstration scientifique, le lien entre le corps et l’esprit. Partant des cellules, il élucide l’impact de nos pensées, nos croyances et nos émotions sur notre santé. Il ouvre de nouveaux horizons sur la façon de rester en bonne santé. Plus qu’une avancée scientifique, il s’agit d’une véritable révolution pour la guérison ! Comment peut-on faire cela? Il a été prouvé que la méditation était l’ingrédient clé dans les habitudes quotidiennes pour atteindre un état de connexion corps-esprit. Pratiquer régulièrement la méditation permettrait d’entrer dans un état alpha, profondément relaxant et puissant, et dans un état thêta d’ondes cérébrales en projection horizontale. Dans ces états méditatifs, nous pouvons ouvrir les canaux de communication entre les pensées et les cellules. Avec la méditation régulière, nous pouvons expérimenter une intimité avec notre corps comme jamais auparavant, comme prendre conscience que nous sommes composés de milliards de cellules, chacune ayant leur propre univers avec leurs propres expériences. On peut alors construire un pont de communication entre la pensée et le corps pour guérir les problèmes qui conduisent à la maladie. Les émotions découlant de ce processus aident à stimuler la libération d’hormones par le système endocrinien. Cette connexion corps-esprit est similaire à la philosophie orientale de l’unité. Les anciens ont compris que toute la vie était dérivée de l’énergie, et donc que notre conscience a de l’énergie. Ses recherches le mènent à conclure qu'avec des intentions claires, nous pouvons parvenir à la guérison physique, en utilisant nos émotions pour répondre physiquement aux pensées dans notre conscience. Des chercheurs américains se sont intéressés aux pratiques alternatives qui peuvent aider les personnes atteintes d’un cancer du sein à mieux surmonter la maladie et les effets indésirables des traitements. Après en avoir passé près d’une centaine en revue, ils ont conclu que la méditation et le yoga sont les plus sûres et les plus efficaces.
Hormonothérapie, chimiothérapie, chirurgie, radiothérapie… les traitements contre le cancer sont multiples en raison des nombreuses variétés de cancers, du stade de la maladie et en fonction des personnes. Mais qu’en est-il des médecines alternatives, qui intéressent certains patients pour une utilisation simultanée à la médecine conventionnelle ? Comme le précise l’Institut national du cancer de France, « ces médecines peuvent soulager, mais ne peuvent en aucun cas remplacer les traitements habituels du cancer. » Homéopathie, plantes, vitamines, acupuncture, massages, ostéopathie… Les patients en attendent souvent un soutien pour leur permettre de mieux supporter les traitements. À l’occasion de la mise à jour des directives cliniques de la Society for Integrative Oncology, des chercheurs de l’École de santé publique Maliman del’Université de Columbia et d’autres institutions aux États-Unis et au Canada, ont analysé les traitements intégratifs (combinaison des traitements médicaux et des thérapies complémentaires) les plus efficaces et sûrs pour les patientes atteintes d’un cancer du sein. Pour mener leur étude, publiée dans A Cancer Journal for Clinicians, ils ont évalué plus de 80 thérapies différentes et développé un classement, sur lequel la Society for Integrative Oncology s’est appuyée pour formuler ses recommandations. Les résultats montrent que le yoga et la méditation sont les thérapies qui sont le plus souvent évoquées pour leurs bienfaits. Utiles contre l’anxiété, le stress et la depression Ainsi, la musicothérapie et la méditation s’avèrent utiles n ce qui concerne la gestion du stress, et le yoga peut quant à lui aider à diminuer l’anxiété et le stress. Ces mêmes thérapies ainsi que la relaxation et les massages sont recommandées pour la dépression et les troubles de l’humeur. La méditation et le yoga peuvent également aider à améliorer la qualité de vie, alors que l’acupuncture et l’acupression sont à privilégier pour réduire les nausées et les vomissements. En revanche, les suppléments diététiques ou les produits naturels issus de plantes ne sont pas recommandés pour aider à surmonter les effets secondaires des traitements en raison « d’un manque de preuves solides ». Des études montrent que jusqu’à 80% des personnes atteintes d’antécédents de cancer utilisent une ouplusieurs thérapies complémentaires mais jusqu’à récemment les preuves en faveur de l’utilisation de ces thérapies étaient limitées, a déclaré Heather Greenlee, professeure adjointe à l’École de santé publique Mailman de l’Université de Columbia. « Notre objectif est de fournir aux cliniciens et aux patients des informations et des outils pratiques pour prendre des décisions éclairées quant à savoir si et comment utiliser une thérapie spécifique pour une application clinique spécifique pendant et après le traitement du cancer du sein » , poursuit-elle. Selon les notes attribuées, la méditation est donc la thérapie qui a reçu la preuve la plus forte de son utilisation : elle est recommandée pour réduire l’anxiété, traiter les symptômes de la dépression et améliorer la qualité de vie. « Le recours au yoga, à la méditation, aux techniques de relaxation et à la musicothérapie passive pour répondre aux problèmes communs de santé chez les patients atteints de cancer du sein est étayée par des preuves élevées, ajoute Debu Tripathy, président du centre médical Anderson au Texas et auteur de l’Étude. » Étant donné l’indication des bénéfices couplé à un niveau de risque relativement faible, ces traitements peuvent être proposés comme une partie intégrante des soins, surtout lorsque les symptômes ne sont pas bien contrôlés. » Les chercheurs affirment cependant que les patients devraient se méfier des thérapies n’ayant pas obtenu de bonnes notes à ces tests |
AuteurDebu Tripathy ArchivesCatégories |